skip to Main Content

QUI SOMMES NOUS   QUE FAISONS NOUS

En résumé

 La commission est composée par un groupe de personnes qualifiées, venant de divers pays.

Il s’agit de « scientifiques » « politiques » « chercheurs » « journalistes » « médecins »,   qui chacun dans son domaine de compétences, à décidé de partager ses connaissances, ses savoirs, parfois ses combats, pour finalement, et avant tout informer les pouvoirs public, les Etats sur ses dysfonctionnements, sur les réalités du système, trop basé sur les profits, et non sur l’évolution de la race humaine.

De nombreux dossiers, sur de nombreux sujets, sont en cours de préparation.

La commission vit des dons qu’elle reçoit, et de divers soutiens, ainsi que de la fourniture d’études et dossiers sur demande d’entreprises ou d’institutions.

La commission dispose d’un siège administratif à Londres, d’un bureau central à Genève, d’un bureau Européen à Bruxelles, et de quelques représentations en divers pays.

Elle délivre à ses membres une carte comportant l’identité complète du récipiendaire, sa fonction au sein de la Commission, ainsi que sa photo.

La Commission attribue une fois par an, des trophées, pour des actions politiques, journalistiques, ou humanitaires, ayant été remarquées par ses membres durant l’année précédente. Un événement est alors organisé à l’occasion de la délivrance de ces trophées.

La commission organise une fois par an, une vente publique des œuvres d’art qui lui auront été données si le nombre est suffisant, si non elle confie à un commissaire priseur les œuvres ainsi reçues.

C.D.C.I. Organisation non gouvernementale internationale de droit privé britannique
Inscrite sur les rôles de la « compagnies house »  sous le numéro   n° 9901638

(Les organisations internationales ont notamment pour objet la sécurité collective des États, et la promotion de la condition humaine dans la communauté mondiale.)
L’habitude est de réserver le terme aux personnes morales majoritairement à but non lucratif
financées par des fonds privés.  Grâce à l’apport de la sociologie des organisations, les principaux
critères définissant une  ONG sont les suivants1 :
• le but non lucratif de son action
• l’indépendance financière
• l’indépendance politique
• la notion d’intérêt public
Une ONG est une personne morale2 qui, bien que n’étant pas un gouvernement, intervient dans le champ national ou international.
Les relations juridiques internationales sont traditionnellement des relations uniquement entre États (ou entre Gouvernements).
Dans le cas d’organisations internationales, on parle également d’Associations de Solidarité Internationale (ASI) ou d’organisations non gouvernementales internationales.

Actuellement, 2 727 ONG ont le statut consultatif dit ECOSOC

Professionnalisation des ONG
Depuis la fin des années 1990, on a assisté à une montée en puissance des ONG :
médiatisation des besoins, recours à l’humanitaire.
Les ONG disposent de plus en plus de compétences techniques, qui les rendent crédibles et leur permettent d’être consultées et écoutées lors des grandes réunions internationales.
Depuis les années 2000, de grandes entreprises privées signent des partenariats avec des ONG de façon à acquérir une vision plus globale de l’environnement mondialisé, et afin de disposer de compétences les aidant à mieux percevoir les attentes des consommateurs et des marchés.
Ceci est plus perceptible dans le monde britannique et japonais.

Les ONG doivent répondre encore plus professionnellement que par le passé.
Certaines organisations françaises se sont un peu rapprochées du système anglais (emploi salarié alors qu’avant le volontariat était la règle), et se tournent vers des candidats qui présentent des connaissances professionnelles dans différents secteurs, relatifs à leurs centres d’intérêts.
Il est devenu impératif, au moins pour des ONG de taille moyenne à grande, de présenter une expérience professionnelle avant de postuler.
Parmi les profils recherchés, se trouvent des médecins et autres professionnels de la santé, des agronomes, des ingénieurs et techniciens en traitement de l’eau, des professionnels du BTP, des logisticiens, des techniciens radio dans le milieu de catastrophe, des informaticiens, etc.
Afin de répondre à ce besoin de professionnalisation des ONG, de plus en plus d’universités et écoles mettent en place des formations spécifiques aux ONG, en plus des formations existantes (cursus d’une ou plusieurs années dans des écoles dédiées, telles que Bioforce à Lyon ou encore l’IFAID (Institut de Formation et d’Appui aux Initiatives de Développement), à Bordeaux, ou encore  la Licence professionnelle mention conduite de projets internationaux de codéveloppement à Besançon).

Back To Top